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29 octobre 2008 3 29 /10 /octobre /2008 10:59

La Doubeurre, ainsi nommée, car sa saveur fine et sa texture rapellent celle du beurre.

CONFITURE à LA DOUBEURRE

Pour 1 kg de confiture. Préparation 20 mn, 1 heure à l'avance. Cuisson 40 mn.

Ingrédients : 700 g de courge  pelée, 400 g de sucre semoule, 3 gousses de vanille, 1 bâton de cannelle, 1 c. à café de noix de muscade râpée.

Coupez la pulpe de courge en gros cubes et mettez-les dans une marmitte à confiture ou une grande casserole émaillée. Ajoutez le sucre et les épices et laissez reposer 1 h environ le temps que le sucre fonde. Au bout de ce temps, posez la marmite sur feu vif et portez à ébullition. Laissez cuire 1 h environ en remuant souvent jusqu'à ce que la confiture soit cuite : elle doit être brillante ou ambrée.

PUREE à LA DOUBEURRE

Pelez la courge et découpez la en morceaux. Faites la cuire dans un fond d'eau ou à la vapeur puis réduisez la en purée, ajoutez deux cuillerées à soupe de crème fraîche. Saler, poivrer
.

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29 octobre 2008 3 29 /10 /octobre /2008 10:27
D'origine celte, Halloween célébrait le retour de la saison froide. La nuit de Haloween était, selon la légende, propice aux sorcières.

Les enfants se déguisent en fantômes ou en sorcières et sonnent aux portes des maisons, en menaçant : "Trick or Treat" ( un sort ou un bonbon). Ils se réunissent ensuite pour des jeux avec des pommes, des noix ou des noisettes. On la célèbre traditionnellement la veille de la Toussaint en Angleterre.

Le soir de Halloween, des citrouilles évidées décorées de façon grimaçante et éclairées de l'intérieur par une bougie, étaient placées aux portes ou aux fenêtres. Auparavant, ces lampes étaient faites dans des navets ou des betteraves.
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21 octobre 2008 2 21 /10 /octobre /2008 11:56

Courge blanche ou orange, aplatie, à bord festonné, dites aussi bonnêt de prêtre, artichaud d'Espagne, artichaud de Jérusalem.

Chair épaisse blanche. Il peut remplacer les courgettes dans la ratatouille ou le gratin. Son goût ressemble à celui de l'artichaut.

On peut le cuire avec la peau, coupé en deux, 15 mn à l'eau bouillante et le servir chaud avec une sauce ou froid à la vinaigrette. Il est très bon aussi sauté à la poêle avec de l'ail et du persil comme des pommes de terre. A ce moment là il faut le peler avant cuisson et le découper en lamelles.

Patisson farci

Faites blanchir le Patisson entier 2 mn à la vapeur dans la cocotte minute. Puis enlevez le dessus, retirez les graines et mettez une farce. Cuire au four 1/2 heure.


Courge SPAGHETTI

Courge à chair jaune forme allongée, filamenteuse. Elle s'utilise plutôt comme la courgette.

Il faut la cuire avec la peau, coupée en deux et libérée de ses graines, environ 20 mn à l'eau bouillante. Ensuite à l'aide d'une fourchette extraire la pelote de "spaghettis" que constitue la pulpe et bien l'égoutter. On peut la servir froide en hors d'oeuvre avec un assaisonnement, ou chaude en gratin.

Crumble au sel

Ingrédients : 1kg de filaments de courge spaghetti cuite, 250 g de chèvre frais, 2 c. à soupe de semoule fine, bouquet de menthe, 150 g  de farine, 75 g de beurre, 2 c. à café d'huile d'olive, sel, poivre.

Dans un plat à gratin disposez une couche de courge,saupoudrez de semoule, ajoutez le chèvre émietté mélangé à la menthe. Melangez  farine beurre sel pour former des miettes plus grosses. Répartissez ce mélange sur la préparation, enfournez jusqu'à ce qu'il soit bien doré (environ 35 mn).

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16 octobre 2008 4 16 /10 /octobre /2008 15:45
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16 octobre 2008 4 16 /10 /octobre /2008 15:42
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16 octobre 2008 4 16 /10 /octobre /2008 15:37

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16 octobre 2008 4 16 /10 /octobre /2008 14:27

Comme prévu j'ai récolté quelques renseignements sur ces légumes appelés Cucurbitacées.

La courge c'est un légume du passé mais pas dépassé aujourd'hui.
Ce légume riche en sel minéraux, vitamines, et oligo-éléments se consomme cru, râpé, en salade, en potage, en tarte, en gratin, en purée, et même en gâteau ou en pain.

Le Potimarron

Chair orange en forme de grosse poire, dense avec un léger goût de châtaigne. Très riche en vitamine A. Inutile de le peler, l'écorce est fondante après cuisson.

Cuisson :  Au four en petits dès, dans un plat huilé (20 mn à 200°) concentre le mieux les saveurs, mais la cuisson à la vapeur donne de très bons résultats. On peut varier les préparations à l'infini.

Tourte au Potimarron
Ingrédients pour 6 personnes : une pâte à tarte brisée, 5 à 600 g de Potimarron, un gros oignon, 2 ou 3 oeufs entiers, 60 g de gruyère râpé, une pincée de sel, 100 g de crème fraîche.

Lavez le Potimarron, le coupez en morceaux sans le peler, et retirez les graines. Cuisez le dans un fond d'eau, ou à la vapeur avec l'oignon pendant 25 mn . Egouttez. Réduisez l'ensemble en purée. Ajoutez les jaunes d'oeufs un à un en tournant afin de cuire le tout à feu doux, ajoutez la crème fraîche. Saler légèrement. Battez les blancs d'oeufs en neige, et ajoutez les à la préparation hors du feu. Incorporez un peu de gruyère râpé. Etalez la pâte brisée au rouleau, versez la purée sur la pâte et terminez par une couche de gruyère râpé. Mettez au four à gratiner à 250° environ 35 mn. Servir chaud.

Cake au Potimarron

Noix de Coco ou Noix
Ingrédients : 1 bol de Potimarron en purée, 100 g de noix de coco râpé ou de noix broyées, 180 g de farine, 3 oeufs, 1 c. à café de levure, 1 c. et demie de sel, 200 g de sucre roux, un zeste de citron.

Faites cuire le Potimarron avec un verre d'eau pendant 10 mn puis l'écraser en purée. Mélangez farine, levure et sel. Battez les oeufs, ajoutez la purée de potimarron et le sucre. Melangez bien puis incorporez la noix de coco ou les noix. Cuisson 1 heure th 6-7
 
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9 octobre 2008 4 09 /10 /octobre /2008 13:34

Chaque automne, les arbres doivent s'adapter au froid hivernal. Les feuilles se colorent de jaune, d'orange et de rouge, puis tombent. Par quel mécanisme ?

Que les feuilles se colorent  et tombent n'est en rien une coquetterie végétale : c'est une adaptation pour survivre au froid hivernale. En effet, à l'automne, lorsque les premiers frimas arrivent, l'arbre doit mettre en place un système pour vivre au ralenti durant l'hiver.

Le tronc et les branches, isolés par l'écorce, sont en mesure de supporter les conditions hivernales. Comme les racines, au chaud dans le sol. Reste le problème des feuilles : leurs tissus tendres ne résistent pas aux basses températures.

Privées de sève

Les arbres, adaptés aux régions froides ou tempérées évitent de dépenser de l'énergie inutilement pour des organes destinés à geler et mourir. Les feuilles sont donc progressivement isolées des canaux qui transportent la sève.

Ceux-ci sont scellés par une couche de liège qui se forme à la base de chaque pétiole. Ce bouchon bloque les canaux acheminant l'eau et les minéraux vers chaque feuille.

Elles survivent cependant quelques temps en digérant leurs propres réserves, mais peu à peu, déshydratées,elles durcissent. Lorsque la couche de séparation est complète, l'attache est prête à se rompre, et les feuilles, à tomber. Au premier coup de vent, elles s'envolent en laissant une cicatrice qui sera recouverte par une fine couche de liège.

Ce phénomène, qui ne se produit que dans les régions tempérées à saisons bien tranchées, ne survient pas "tout seul". Il est déclenché par la baisse des températures et par la diminutionn,de la durée du jour (ou photopériode). En effet, la surface d'une feuille est couverte de capteurs sensibles à l'énergie solaire. Quand la photopériode décroit, une hormone, l'éthylène, est davantage produite. Elle permet la mise en place du bouchon de liège.

Apparition des pigments cachés

Une conséquence de ce phénomène  est la coloration des feuilles. Puisque celles-ci ne sont plus alimentées par la sève brute, la photosynthèse, la réaction chimique dont les plantes tirent leur énergie, est interrompue.
Par conséquent, la chlorophylle, le pigment vert qui participe à la photosynthèse, se dégrade. La couleur verte cesse d'être dominante et se voit supplantée par les pigments rouges, jaunes et oranges d'habitude masqués par le vert.
Quant aux conifères, comme le pin, l'épinette et le cèdre, ils ont une stratégie différente. Ils possédent des feuilles coriaces et persistantes sous la forme de petites aiguilles ou d'écailles.
Elles sont recouvertes d'une couche de cire, isolante, et leurs cellules contiennent des substances spéciales pour résister au froid. De cette manière, la plupart des conifères peuvent supporter les pires conditions hivernales.

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3 octobre 2008 5 03 /10 /octobre /2008 11:48

Originaire d'Orient, la noix a été introduite en Europe par les Romains.
Appelé "Jovis Glans" ou "Noix de Jupiter", un profond respect etait voué à ce fruit sec dont les vertus nutritionnelles étaient déjà colportées par les médecins de l'Antiquité.

L'huile de noix alors reconnue pour ses effets bénéfiques sur les convalescents.

La noix du Dauphiné a été identifiée lors des fouilles des strates du village néolithique du lac de Charavines (Isère), datant de 2500 ans avant Jésus Christ.

Ainsi, on a retrouvé des débris de noix datant du néolitique... ce qui semble indiquer que
nos ancêtres appréciaient déjà les noix !

Il semble que ce soit à la fin de la République Romaine que les premiers essais de "culture moderne" des noix aient été effectués, sur les pentes du Vésuve.
Lors de l'expansion romaine, les légions de César les auraient introduites en Narbonaise, puis les plants de noyer seraient remontés vers le Nord.
En remontant la vallée du Rhône jusqu'à Vienne, ils se seraient implantés dans la vallée de GRATIANOPOLIS (Grenoble !).

AU MOYEN-AGE

Les Mercuriales(listes des prix des denrées sur un marché public; cours officiel) des marchés locaux signalaient l'existence de vente de noix et de l'huile de noix.

Les cartulaires dauphinois (recueils où sont transcrits les chartes) de Saint Hugues et de Domène, aux environs de Grenoble, mentionnent dès le 11ème siècle des redevances acquittées en sétiers de noix.

Un setier = une mesure de 0,40 litre

Au 13ème, 14ème et 15ème siècle, les comptes des chatelains signalent des récoltes de noix fort abondantes. La noix prend une telle importance dans la vie quotidienne que le métier de " mesureur de noix " fut crée. En 1415, deux fonctionnaires avaient cette charge au royaume de France...

Au moyen-age, la France était coupée en deux par la ligne de séparation des langues : langue d'Oc au Sud, langue d'Oil au Nord. Cette frontière, qui passe par Valence, valait aussi pour les modes d'éclairages : au Sud, on s'éclairait à l'huile d'olive, au Nord, à l'huile de noix !

Pendant sept cent ans, les lampes à huile vont éclairer la France...

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1 octobre 2008 3 01 /10 /octobre /2008 14:45
Dans un grand bocal de 5 litres,hermétique,mettez 40 noix dans leur coque, que vous aurez cassées avec un petit marteau. Ajouter 40 sucres roux, recouvrez d'un bon vin rouge à 13 degrés, entreposez ce flacon dans un endroit frais et obscur. Attendez 40 jours, filtrez et buvez (modérément).
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